Les technologies financières et leur impact sur le monde de la finance
Généralement, les technologies financières effectuent une action de modification sur le monde financier. Retenez bien que cette évolution ne se révèle toujours pas positive. Les technologies dans ce secteur représentent un dispositif supplémentaire au service client. Ceci consiste à renforcer la sécurité matérielle ainsi que juridique dans les transactions électroniques. Dans le même temps, elles représentent un facteur de nuisance sur certains points !
Quel est le défi des réseaux sociaux ?
Notez bien qu’avec le boom de la technologie, la « AMF » fait face à des questions bien concrètes. En effet, la désinformation sur les réseaux sociaux suscite la diffusion des fausses croyances. Non seulement ceci, elle entraine encore la vente des articles frauduleux.
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Au vu de ces méfaits qu’effectuent les acteurs étrangers, le gendarme boursier connaît des limites tout comme ses propres frontières physiques de sa juridiction. Le président-directeur Louis Morissett affirme à ce propos « Il y a une limite très, très claire à ce qu’on peut faire. Les gens sont libres sur l’internet d’aller où ils veulent et de trouver des acteurs du système financier qui ne sont pas inscrits à l’Autorité. Ceux qui respectent peut-être les lois dans d’autres juridictions, mais il s’avère souvent que ces acteurs-là sont des entreprises frauduleuses. »
Dans ces conditions, l’AMF redouble ses efforts pour la promotion de la littératie financière. D’ailleurs, elle est présente sur le réseau social TikTok « sensibiliser et marteler constamment qu’on doit faire affaire avec des entreprises inscrites au Québec est le mieux qu’on puisse faire, et on y met beaucoup d’énergie. Lorsque les gens partiront de cette prémisse-là, il y aura beaucoup moins de gens qui vont tomber dans les pièges ».
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Mis à part ceci, il faut savoir que l’AMF mène encore des efforts avec les régulateurs sur le plan international. Dans le but de trouver les mauvais acteurs sur internet. Ils essaient de voir si les firmes telles que Facebook, Instagram, TikTok peuvent aider en bloquant ces genres de contenus. Tout en sachant bien qu’ils sont souvent frauduleux. Et cela se fait à l’échelle internationale.
En outre, il y a des chercheurs qui se préoccupent des risques qu’engendreraient les récents débouchés de l’IA (intelligence artificielle). Et ce, avec la technologie de l’agent conversationnel ChatGTP par exemple. Celle-ci constitue une source de curiosité ces derniers temps.
La responsabilité des automobilistes
Le président-directeur général de « AMF » Louis Morisset affirme « même si le jour où les Québécois conduiront une voiture pleinement autonome n’est pas pour demain, le gendarme boursier a créé un groupe de réflexion pour se pencher sur les enjeux qui pourraient survenir dans le secteur de l’assurance automobile ». Cette affirmation représente un exemple qu’a donné le président au cours d’une entrevue (en marge d’une allocution devant le cercle canadien de Montréal).
Par ailleurs, il faut savoir que cette idée de véhicule entièrement autonome pose des préoccupations sur la responsabilité des automobilistes en termes d’assurance. Le président Louis Morisset explique cela à travers « Éventuellement, lorsqu’on aura une voiture autonome qui devrait assumer la responsabilité en cas d’accident, quel genre de système devrait être mis en place ? ».
Certes, cette question se révèle hypothétique. Mais, ce dirigeant notifie qu’il faut à partir de maintenant entamer la réflexion. Dans ce cas de figure, l’industrie et l’AMF seront mieux préparées au temps venu dès les alternatives potentielles. Si nous ne consultons pas l’industrie, nous n’arriverons pas à une conclusion.